>Les titres imaginaires
Le monde d’après. Dystopie ou utopie, vous le saurez en
écrivant les chapitres.
La routine tue aussi le samedi.
Les écureuils de central Park vivent leur meilleure vie.
L’hôpital doit faire appel à la charité.
La farine de la colère.
Les pâtisseries de la peur.
L’ennui, œuvres complètes.
La revanche des caissières du Lidl.
Amazon ou la pluie de parasites géants.
La peur au ventre.
Les nettoyeurs de la république absolue.
>Les titres déjà existants
Pas dans le cul aujourd’hui
de Jana Cerna
(Une lettre politique à la vie, à l’amour et à la philosophie) (et pour le
sexe, je vous laisse à votre imagination)
La condition
ouvrière de Simone Weil (à relire d’urgence) (Ces métiers dévalorisés
et pourtant vitaux)
Chômage monstre de Antoine
Mouton (pas
besoin de vous faire un dessin)
A mains nues de Amandine
Dhée (pour ne
jamais laisser les laisser de côté la quête de la liberté féminine)
L’odeur de chlore
de Irma Pelatan (pour puiser dans les ressources et les blessures de l’enfance)
Fugitives de Alice
Munro (pour
prendre la poudre d’escampette dès que possible)
L’école à la
maison. Manuel d’éducation Punk (pour tout faire de travers)
Le corps d’après de
Virginie Noar
(pour laisser vivre nos corps hors des contraintes normatives. Et vive la
libération du port du soutien-gorge lors de ce confinement !)
Les désorientés de Amin
Malouf (pour
retrouver le sens de notre existence)
Le seigneur des
porcheries de Tristan Elgof (pour se souvenir que la folie n’est pas là où la croit et
pour la revanche des « riens »)
Contes de la folie
ordinaire de Charles Bukowski (parce que notre existence est faite d’hyper quotidien et de
conneries humaines)
***
Travail pour l'atelier d'écriture