J'ai pris la route vers la faiblesse. Elle est dressée le long de la
petite route. Quelques maisons sont là, en attente des lumières. La
falaise est vagues. Pour les larmes, les cils sont noirs. J'ai continué la route vers la neige haute. De l'eau sans rives. Des pics sans connaissances. Des pommes à tomber. C'est là-bas que je suis allée. Seule.